Unité de Production
Sophie Dars, Thierry Decuypere
Thématique - « It is too late for sustainable development »
L’Unité de Production s’intéresse aux effets du « nouveau régime climatique » sur la discipline architecturale. Le « nouveau régime climatique » constitue les nouvelles conditions d’existence conséquentes des bouleversements environnementaux engendrés par les sociétés humaines extractivistes. Une situation collective inédite vis à vis de laquelle les réactions actuelles sont partagées entre le déni du climato-scepticisme, le greenwashing du capitalisme vert et l’effroi de la collapsologie.
Le secteur de la construction est un acteur majeur des changements climatiques. L’architecture et son enseignement nourri de modernité et de culte de la personnalité mâtiné de développement durable sont caractérisés par leur indifférence à des enjeux dont l’impact social, économique et physique ne sont pas sans conséquence sur une discipline particulièrement poreuse aux effets externes.
L’atelier propose d’investiguer les effets de ce nouveau paradigme sur notre manière de concevoir et de construire l’architecture. L’atelier interroge la place de l’architecte comme auteur vis à vis des humains et non humains impliqués directement ou indirectement par les conséquences de ses projets. L’atelier s’intéresse au rôle renouvelé des matériaux comme acteurs contraignants de la conception. L’atelier s’intéresse à la place de l’architecte comme chercheur et comme médiateur et se caractérise par une exigence forte quant à la qualité des enquêtes qui nourrissent le projet et quant à la maîtrise des outils de représentation.
Unité de Production
Sophie Dars, Thierry Decuypere
Thématique - « It is too late for sustainable development »
L’Unité de Production s’intéresse aux effets du « nouveau régime climatique » sur la discipline architecturale. Le « nouveau régime climatique » constitue les nouvelles conditions d’existence conséquentes des bouleversements environnementaux engendrés par les sociétés humaines extractivistes. Une situation collective inédite vis à vis de laquelle les réactions actuelles sont partagées entre le déni du climato-scepticisme, le greenwashing du capitalisme vert et l’effroi de la collapsologie.
Le secteur de la construction est un acteur majeur des changements climatiques. L’architecture et son enseignement nourri de modernité et de culte de la personnalité mâtiné de développement durable sont caractérisés par leur indifférence à des enjeux dont l’impact social, économique et physique ne sont pas sans conséquence sur une discipline particulièrement poreuse aux effets externes.
L’atelier propose d’investiguer les effets de ce nouveau paradigme sur notre manière de concevoir et de construire l’architecture. L’atelier interroge la place de l’architecte comme auteur vis à vis des humains et non humains impliqués directement ou indirectement par les conséquences de ses projets. L’atelier s’intéresse au rôle renouvelé des matériaux comme acteurs contraignants de la conception. L’atelier s’intéresse à la place de l’architecte comme chercheur et comme médiateur et se caractérise par une exigence forte quant à la qualité des enquêtes qui nourrissent le projet et quant à la maîtrise des outils de représentation.