Projet Bachelier 2
coord. Jean-Luc Brisy
Valentin Bollaert
Jean-Luc Brisy
Ines Camacho
Gregorio Carboni Maestri
Hugo Corbett
Stéphane Damsin
Fabien Dautrebande
Yann Gueguen
Gil Honoré
Daniel Linze
Marc Mawet
Pedro Monteiro
Vincent Pierret
Miguel Pinto
Vincent Pierret
Valentin Piret
Dany Poncelet
Caroline Roure
L’atelier de Projet BA2 fonde sa pédagogie sur un enseignement strictement horizontal : l’ensemble des questions, des attendus et des évaluations est identique pour tous. L’objectif fondamental de l’atelier est d’accompagner les étudiants dans leur cheminement personnel vers l’acquisition d’une autonomie réflexive et méthodologique, indispensable pour s’épanouir dans les années supérieures.
Ainsi, chaque quadrimestre est thématisé suivant une logique pédagogique progressive, proposant des exercices de complexité croissante :
Transversalement, tous les travaux de l’année contribuent à développer et consolider plusieurs types de compétences complémentaires : la narration d’intentions et de stratégies projectuelles clairement assumées, la représentation qualitative de l’architecture en 2D et en 3D à différentes échelles, l’utilisation de références architecturales judicieusement choisies et parfaitement analysées, la composition spatiale et l’expression détaillée de projets incarnés.
Projet de fin d’année : « Paysage urbain – Un équipement public entre ville et nature »
« Ville diffuse » est le terme communément partagé pour désigner les territoires péri-urbains qui se sont constitués au fil du XXe Siècle, en lisière des villes historiques traditionnelles, denses et consolidées. Cette forme urbaine, intermédiaire entre ville et campagne, est présente en périphérie de la plupart des grandes métropoles. Elle se caractérise par un phénomène d’hybridation du territoire et de l’environnement bâti : ni vraiment ville, ni espace rural. Certains auteurs l’ont nommée « Città diffusa », « Hyperville », « Generic City », « Zwischenstadt », … En référence à différents concepts particuliers.
Dans le cadre de l’atelier BA2, cette première approche des questions d’urbanité dans la ville réelle est empirique et expérimentale, laissant aux cours d’urbanisme le soin d’approfondir les aspects théoriques.
Le programme et le terrain proposés sont les prétextes pour concevoir un ensemble architectural, partagé entre projet d’édifice(s) et projet paysager. Il s’agit d’imaginer un petit équipement public, lieu de rencontres et d’échanges, dédié aux loisirs et aux découvertes, sur une friche boisée à Ganshoren. La question demande de concevoir un centre communautaire de quartier, ouvert à tous, équipé d’une piscine publique extérieure. L’enjeu est d’orchestrer les relations que le projet entretient avec son contexte : le cadre bâti, l’environnement naturel, l’espace public, les habitants du quartier, … dans le but mesuré, mais essentiel, de « faire de la ville ». L’urbain et l’humain constituent le coeur des réflexions, le fil rouge des explorations à entreprendre.
Ganshoren, ville diffuse
Projet Bachelier 2
coord. Jean-Luc Brisy
Valentin Bollaert
Jean-Luc Brisy
Ines Camacho
Gregorio Carboni Maestri
Hugo Corbett
Stéphane Damsin
Fabien Dautrebande
Yann Gueguen
Gil Honoré
Daniel Linze
Marc Mawet
Pedro Monteiro
Vincent Pierret
Miguel Pinto
Vincent Pierret
Valentin Piret
Dany Poncelet
Caroline Roure
L’atelier de Projet BA2 fonde sa pédagogie sur un enseignement strictement horizontal : l’ensemble des questions, des attendus et des évaluations est identique pour tous. L’objectif fondamental de l’atelier est d’accompagner les étudiants dans leur cheminement personnel vers l’acquisition d’une autonomie réflexive et méthodologique, indispensable pour s’épanouir dans les années supérieures.
Ainsi, chaque quadrimestre est thématisé suivant une logique pédagogique progressive, proposant des exercices de complexité croissante :
Transversalement, tous les travaux de l’année contribuent à développer et consolider plusieurs types de compétences complémentaires : la narration d’intentions et de stratégies projectuelles clairement assumées, la représentation qualitative de l’architecture en 2D et en 3D à différentes échelles, l’utilisation de références architecturales judicieusement choisies et parfaitement analysées, la composition spatiale et l’expression détaillée de projets incarnés.
Projet de fin d’année : « Paysage urbain – Un équipement public entre ville et nature »
« Ville diffuse » est le terme communément partagé pour désigner les territoires péri-urbains qui se sont constitués au fil du XXe Siècle, en lisière des villes historiques traditionnelles, denses et consolidées. Cette forme urbaine, intermédiaire entre ville et campagne, est présente en périphérie de la plupart des grandes métropoles. Elle se caractérise par un phénomène d’hybridation du territoire et de l’environnement bâti : ni vraiment ville, ni espace rural. Certains auteurs l’ont nommée « Città diffusa », « Hyperville », « Generic City », « Zwischenstadt », … En référence à différents concepts particuliers.
Dans le cadre de l’atelier BA2, cette première approche des questions d’urbanité dans la ville réelle est empirique et expérimentale, laissant aux cours d’urbanisme le soin d’approfondir les aspects théoriques.
Le programme et le terrain proposés sont les prétextes pour concevoir un ensemble architectural, partagé entre projet d’édifice(s) et projet paysager. Il s’agit d’imaginer un petit équipement public, lieu de rencontres et d’échanges, dédié aux loisirs et aux découvertes, sur une friche boisée à Ganshoren. La question demande de concevoir un centre communautaire de quartier, ouvert à tous, équipé d’une piscine publique extérieure. L’enjeu est d’orchestrer les relations que le projet entretient avec son contexte : le cadre bâti, l’environnement naturel, l’espace public, les habitants du quartier, … dans le but mesuré, mais essentiel, de « faire de la ville ». L’urbain et l’humain constituent le coeur des réflexions, le fil rouge des explorations à entreprendre.