Natacha Englebert, Alexine Triest
CIEL
Ce projet s'implante dans une friche urbaine rare à Bruxelles, offrant une opportunité unique de revitaliser le quartier avec des logements et des fonctions nouvelles. Inspirées par la trame historique des parcelles, nous avons conçu des volumes qui respectent les longues vues des voisin.e.s tout en optimisant l’exposition est-ouest.
Le cœur du projet est un co-habitat pensé pour ceux et celles qui choisissent de vivre autrement, dans une communauté où partage et échange sont au centre. Chaque étage s’organise autour d’un espace central communautaire – bureau, salon, cuisine – adapté aux besoins des résident.e.s. Cet espace sert de filtre initial, guidant les usagers à travers divers environnements avant d’atteindre leur logement. En dépassant la répartition traditionnelle des espaces privés et communs, nous avons créé un lieu où les frontières s’estompent et les espaces se mêlent. Les appartements ont été conçus pour dissoudre les limites des entrées et encourager le partage. Notre projet repose sur un système flexible qui s’adapte aux besoins variés des usagers. Ce système peut accueillir deux appartements distincts, deux appartements partageant des espaces de vie, ou encore un grand appartement unique. Cette flexibilité permet de répondre à une diversité de profils et de modes de vie.
À chaque étage, un jeu subtil de niveaux se déploie, alliant esthétique et fonctionnalité pour offrir à la fois intimité et ouverture sur le cadre verdoyant. Nous exploitons les cadrages pour offrir aux usagers des perspectives enrichissantes sur le contexte environnant : vues traversantes dans les appartements, perspectives diagonales et ouvertures d’angles. Au sommet du co-habitat, un espace singulier regroupe laverie, salon et cuisine sous une charpente mise en scène, célébrant les tâches quotidiennes autrefois marginales.
Enfin, nous nous sommes inspirées de l'histoire et du contexte des bâtiments bruxellois pour l'élévation du projet. Les ouvertures jouent avec l'ancienne réglementation immobilière, qui liait le prix des appartements au nombre de fenêtres. En intégrant des fenêtres murées et en variant les types de brique, nous avons créé un jeu de pleins et de vides.
Natacha Englebert, Alexine Triest
CIEL
Ce projet s'implante dans une friche urbaine rare à Bruxelles, offrant une opportunité unique de revitaliser le quartier avec des logements et des fonctions nouvelles. Inspirées par la trame historique des parcelles, nous avons conçu des volumes qui respectent les longues vues des voisin.e.s tout en optimisant l’exposition est-ouest.
Le cœur du projet est un co-habitat pensé pour ceux et celles qui choisissent de vivre autrement, dans une communauté où partage et échange sont au centre. Chaque étage s’organise autour d’un espace central communautaire – bureau, salon, cuisine – adapté aux besoins des résident.e.s. Cet espace sert de filtre initial, guidant les usagers à travers divers environnements avant d’atteindre leur logement. En dépassant la répartition traditionnelle des espaces privés et communs, nous avons créé un lieu où les frontières s’estompent et les espaces se mêlent. Les appartements ont été conçus pour dissoudre les limites des entrées et encourager le partage. Notre projet repose sur un système flexible qui s’adapte aux besoins variés des usagers. Ce système peut accueillir deux appartements distincts, deux appartements partageant des espaces de vie, ou encore un grand appartement unique. Cette flexibilité permet de répondre à une diversité de profils et de modes de vie.
À chaque étage, un jeu subtil de niveaux se déploie, alliant esthétique et fonctionnalité pour offrir à la fois intimité et ouverture sur le cadre verdoyant. Nous exploitons les cadrages pour offrir aux usagers des perspectives enrichissantes sur le contexte environnant : vues traversantes dans les appartements, perspectives diagonales et ouvertures d’angles. Au sommet du co-habitat, un espace singulier regroupe laverie, salon et cuisine sous une charpente mise en scène, célébrant les tâches quotidiennes autrefois marginales.
Enfin, nous nous sommes inspirées de l'histoire et du contexte des bâtiments bruxellois pour l'élévation du projet. Les ouvertures jouent avec l'ancienne réglementation immobilière, qui liait le prix des appartements au nombre de fenêtres. En intégrant des fenêtres murées et en variant les types de brique, nous avons créé un jeu de pleins et de vides.